Que diriez-vous d’un voyage dans le temps, au milieu du XIXe siècle, dans un petit village du Pays de Caux, en Normandie ?
Un endroit comme beaucoup d’autres où survivaient de
nombreuses légendes et la peur des sortilèges et envoûtements.
Alors malgré le chant des oiseaux, l’odeur du foin
coupé, les cris des enfants et le chant joyeux des femmes lavant le linge,
chacun avait un œil suspicieux sur ses voisins, surtout si quelques soucis
venaient entacher le quotidien.
Monsieur le curé veillait sur ses ouailles, en père
protecteur, et venait asperger d’eau bénite maisons et étables hantées pour
rassurer les plus inquiets.
En cette année 1851, à la mairie, Monsieur Adolphe
Cheval et à l’église le curé Louis Thinel servaient une population de 346
administrés pour le premier et 346 âmes pour le second. Tous deux attentifs.
Bien évidemment, ils travaillaient de concert pour
le bien de tous.
Alors, pourquoi tout à coup, tout sembla partir à
vau-l’eau ?
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