mercredi 19 juillet 2023
La destinée de Charles Nicolas Valentin Chauvet - Huitième partie
Qu’est-il advenu de Marie Éloïse
Chauvet, veuve Julien, épouse Brard ?
Une fiche d’écrou de Rouen donne
les renseignements suivants :
Femme Brard Marie
Éloïse Chauvet
Delahais
Née à Bocasse Val
Martin le 7 avril 1825
Demeurant à
Déville-lès-Rouen
Ménagère
Entrée le 23 octobre
1876
50 ans
1 m 53 – cheveux
châtains – yeux gris
Mariée à Alexandre
Brard
Deux enfants
Non vaccinée
Catholique
Dans un sac :
·
3 chemises – 3 jupons
– 1 pantalon noir
·
1 robe popeline noire
·
2 paires de bas de
couleur
·
2 paires de bas coton
blanc
·
Des chaussons et
sabots
·
1 tablier cotonnette
·
1 tablier gris laine
Inscrite le 23 octobre 1876 au
greffe de la maison de justice de Rouen par Leroux, gendarme à pied, par ordre
du procureur général de Rouen, le 21 octobre 1876.
Accusée d’empoisonnement.
La cour d’appel de Rouen chambre
des mises en accusation.
Sortie le 21 novembre 1876 pour être
conduite à la maison d’arrêt de cette ville.
Rien d’autre !
Marie Éloïse Chauvet fut graciée
le 1876.
Un article dans un journal
l’atteste.
Un autre journaliste écrivit que
le 3 mars 1877, elle fut condamnée aux travaux forcés.
Mais là, aucune fiche dans les divers
bagnes.
Ne fut-elle pas, tout simplement, condamnée à la prison à perpétuité ?
À Rouen ?
Dans un autre
établissement ?
Le mystère demeure.
Une autre énigme : Que sont
devenues les filles de Marie Éloïse Chauvet ?
L’aînée n’avait pas témoigné au
procès de sa mère, ni à celui de son beau-père.
Dans le cas de problèmes de
justice, les membres de la famille d’un condamné ne restaient jamais dans la
même ville, la même région.
Trop lourd à porter.
Et puis, Marie Éloïse Chauvet
avait eu deux filles et en se mariant (si elles se marièrent), elles changèrent
de nom.....
Difficile alors de les retrouver.
Une bien triste affaire que celle
de Marie Éloïse Chauvet qui, par cupidité, avait en fait, tout perdu.
A bientôt pour une autre affaire
criminelle......
Une fiche d’écrou de Rouen donne
les renseignements suivants :
Femme Brard Marie
Éloïse Chauvet
Delahais
Née à Bocasse Val
Martin le 7 avril 1825
Demeurant à
Déville-lès-Rouen
Ménagère
Entrée le 23 octobre
1876
50 ans
1 m 53 – cheveux
châtains – yeux gris
Mariée à Alexandre
Brard
Deux enfants
Non vaccinée
Catholique
Dans un sac :
·
3 chemises – 3 jupons
– 1 pantalon noir
·
1 robe popeline noire
·
2 paires de bas de
couleur
·
2 paires de bas coton
blanc
·
Des chaussons et
sabots
·
1 tablier cotonnette
·
1 tablier gris laine
Inscrite le 23 octobre 1876 au
greffe de la maison de justice de Rouen par Leroux, gendarme à pied, par ordre
du procureur général de Rouen, le 21 octobre 1876.
Accusée d’empoisonnement.
La cour d’appel de Rouen chambre
des mises en accusation.
Sortie le 21 novembre 1876 pour être
conduite à la maison d’arrêt de cette ville.
Rien d’autre !
Marie Éloïse Chauvet fut graciée
le 1876.
Un article dans un journal
l’atteste.
Un autre journaliste écrivit que
le 3 mars 1877, elle fut condamnée aux travaux forcés.
Mais là, aucune fiche dans les divers
bagnes.
Ne fut-elle pas, tout simplement, condamnée à la prison à perpétuité ?
À Rouen ?
Dans un autre
établissement ?
Le mystère demeure.
Une autre énigme : Que sont
devenues les filles de Marie Éloïse Chauvet ?
L’aînée n’avait pas témoigné au
procès de sa mère, ni à celui de son beau-père.
Dans le cas de problèmes de
justice, les membres de la famille d’un condamné ne restaient jamais dans la
même ville, la même région.
Trop lourd à porter.
Et puis, Marie Éloïse Chauvet
avait eu deux filles et en se mariant (si elles se marièrent), elles changèrent
de nom.....
Difficile alors de les retrouver.
Une bien triste affaire que celle
de Marie Éloïse Chauvet qui, par cupidité, avait en fait, tout perdu.
A bientôt pour une autre affaire
criminelle......
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