mercredi 1 juin 2022

Les catastrophes ferroviaires - février 1871 - première partie

 


Ce fut le 5 février 1871 entre Bandol et Saint-Nazaire – sur la ligne Marseille-Nice –

 

Première  partie : le contexte historique

 

 

La guerre franco-prussienne avait débuté le 19 juillet 1870.

Une guerre très brève.

Une guerre très meurtrière.

 

Une défaite française, avec :

·         Le 2 septembre 1870, à Sedan, la capitulation de l’Empereur Napoléon III et de 39 de ses généraux ainsi que 70 000 à 100 000 soldats, 419 à 650 canons, 6 000 à 10 000 chevaux, 553 pièces de campagne et de siège et 66 000 fusils.

·         La proclamation de la IIIe République.

·         L’armistice du 15 février 1871.

·         La fin du siège de Belfort le 18 février 1871, après 103 jours (du 3 novembre 1870 au 18 février 1871).

·         Le 19 février 1871, gouvernement dirigé par Adolphe Thiers.

·         La signature, le 26 février 1871, d’un traité de paix préliminaire, à Versailles, qui fut ratifié le 1er mars 1871.

·         La fin du siège de Bitche, le 26 mars 1871 - (8 août 1871 – 26 mars 1871).

·         Le traité de paix, le 10 mai 1871, signé à Francfort-sur-le-Main. Un traité qui amputa la France de l’Alsace, à l’exception de Belfort, et d’une partie de la Lorraine et des Vosges.

 

Et puis, cette période terrible de la Commune de Paris qui débuta le 18 mars 1871 pour s’achever le 28 mai 1871, par la « semaine sanglante ».

 

 

En ce 5 février 1871, la France se trouvait encore en guerre, et sur son territoire, il y avait  toujours de nombreux mouvements de troupes et des transports d’armes et de munitions.

 

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